mercredi 19 mars 2014

Autopsie d'un processus démocratique bafoué et entaché.

Euthanasie déguisée en "aide médicale à mourir": un dossier qui divise et qui sème la confusion.
(Partie 1) L'entrevue s'est déroulée en décembre 2009 
avant le début des travaux de la Commission sur les questions de fin de vie. 

En décembre 2009, Mme Pauline Marois et la députée Véronique Hivon ont convaincu les députés de l'Assemblée nationale de tenir une commission spéciale sur les questions de fin de vie incluant l'euthanasie et le suicide assisté. 

D'une commission spéciale sur les questions de fin de vie à projet de loi 52 qui permettrait l'euthanasie déguisée en "aide médicale à mourir", Mme Marois confirme publiquement dans le vidéo que l'euthanasie et le suicide assisté sont de compétences fédérales. 

Elle avait même affirmé en décembre 2009 qu'elle ferait une représentation au fédéral et que ce serait au fédéral de l'autoriser puisque l'euthanasie et le suicide assisté sont de compétences fédérales. 

Plutôt, le gouvernement péquiste a convaincu les députés de l'Assemblée nationale que provoquer la mort d'un patient était un soin et acceptable dans certaines circonstances et ce, offert dans un continuum de soins. Pour ce faire, les termes euthanasie et suicide assisté ont été stratégiquement remplacés par la nouvelle appellation "aide médicale à mourir". Ceci en pensant que le gouvernement pourrait CONTOURNER la loi fédérale et le code criminel en permettant l'euthanasie et/ ou le suicide assisté déguisés en traitement médical (un rappel que les soins sont de compétences provinciales)

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